Réclamé par les spécialistes, l'observatoire national du suicide a été installé officiellement par la ministre de la santé. Chargé de collecter les données, d'identifier les facteurs de risque et de produire des recommandations, il doit aider à définir une vraie politique de prévention afin de réduire la facture : 10 000 morts par an, dont près d'un tiers d'âgés.