Suite à l'accident de Lubrizol, le ministère de l'Ecologie cherche à améliorer la gestion des émissions accidentelles de polluants. Il est prévu notamment d'attribuer un véritable rôle aux associations agréées de surveillance de la qualité de l'air (Aasqa).Trois Aasqa expérimentent actuellement des dispositifs pour affirmer leur place dans la gestion d'une crise.

