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Le « sale boulot », vecteur de conscience environnementale

Contre toute attente, les personnes peu diplômées ou faiblement rémunérées seraient davantage concernées par les conséquences de leur travail sur la nature, constate le chercheur associé à l’Ires, Thomas Coutrot, dans une récente analyse empirique de l’enquête Conditions de travail de 2019.
Matthieu Barry
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Matthieu Barry