Risques physiques
Le 28/06/2019
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[interview] Nanoparticules : "les prélèvements conventionnels ne sont pas forcément appropriés"
Louis Galey, chercheur en ergonomie, travaille sur les expositions professionnelles aux nanoparticules. Il explique que les instruments et méthodes de mesure courants ne permettent pas d’avoir une bonne connaissance de ces expositions. Face à un risque émergent et encore très mal connu, ses conclusions mettent en évidence la nécessité de combiner plusieurs instruments de mesure. Des informations qui ont vocation à être transmises aux préventeurs, aujourd'hui démunis.
Le 27/06/2019
A la une (brève)
La RATP expérimente un dispositif de traitement de l'air dans le métro parisien
Le 21/06/2019
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Amiante : condamnation d'une société pour envoi à l'administration d’un plan de retrait non conforme
Le plan de retrait adressé à l’inspection du travail sans indication de la date de commencement des travaux n’est pas conforme.
Le 12/06/2019
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Travail sur écran : la toxicité de la lumière bleue des LED est confirmée
Baisse de la vue, maux de tête, sommeil perturbé mais aussi mortalité et appauvrissement de la biodiversité. Tels sont les effets des dispositifs à LED les plus riches en lumière bleue. L'Anses recommande un encadrement de tous ces objets, et pas seulement les lampes, et une meilleure information de la population. Les salariés travaillant sur écran sont concernés.
Le 05/06/2019
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Silice cristalline : l'Anses recommande de revoir VLEP et tableaux de maladies professionnelles
Plus de 360 000 travailleurs sont exposés à la silice cristalline, certains au-delà même de la valeur limite d'exposition professionnelle. En plus, ce seuil légal n'est pas suffisamment protecteur, observe l'Anses qui veut l'abaisser, et améliorer la reconnaissance du cancer broncho-pulmonaire comme maladie professionnelle associée.
Le 03/06/2019
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Risque chimique : la France donne une nouvelle valeur limite au cadmium
La VLEP indicative pour le cadmium est fixée à 0,004 mg/m3. Il s'agit d'une VLEP dite "pragmatique", car il n'était pas possible de décider d'un seuil assurant d'éviter les effets cancérogènes de la substance. Le ministère a fait le choix de ne pas suivre la recommandation de l'Anses, qui recommandait – il y a déjà 2 ans – une valeur plus faible. La France s'aligne en revanche sur les dernières positions du Parlement européen.