Dénonçant un angle mort de la sous-traitance et de l’intérim, mis en lumière par trois affaires emblématiques analysées à froid, élus et mandatés ont passé en revue le 14 mars les moyens encore disponibles pour garantir la santé et la sécurité de ces travailleurs « invisibles » de énième rang, peu formés, moins représentés, parfois sans papiers, qui endossent des risques en marge du « collectif ».

