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La Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb) et l'Institut de recherche et d'innovation sur la santé et la sécurité au travail (Iris-ST) s'associent à l'industriel Layher pour prévenir les risques liés aux échafaudages. Leur objectif : faire mieux connaître une législation et des bonnes pratiques encore trop souvent ignorées des artisans.
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Un sondage réalisé auprès d'un peu plus de 1 000 élus du personnel nous informe sur leur état d'esprit vis-à-vis du CSE, que la nouvelle instance ait déjà été négociée dans leur entreprise ou pas.
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Les syndicats policiers – tout comme une "association professionnelle" de gendarmes – veulent aborder les problèmes qui selon eux, causent la souffrance dans les rangs : la durée du temps de travail, les repos, la politique du chiffre. Depuis le début de l'année, 61 membres des forces de l'ordre se sont suicidés.
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Quels sont les déchets qui peuvent être à valoriser lors d'une démolition, et à quelles conditions ? Le projet Démoclès y répond, tout en rappelant la responsabilité du maître d'ouvrage, souvent peu impliqué dans la gestion des déchets issus de ses chantiers.
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L'Anses a analysé plusieurs des dispositifs promettant de purifier l'air intérieur. L'agence conclut que les données disponibles ne permettent pas de prouver leur efficacité – ni même innocuité. Parfois, cela pourrait même détériorer la qualité de l'air, notamment en émettant des COV.
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Si la faute inexcusable de l'entreprise utilisatrice est reconnue, après qu'un intérimaire a été victime d'un accident du travail, la société d'intérim peut réclamer à l'entreprise utilisatrice, sa cliente, le remboursement des préjudices qu'elle a indemnisée. C'est en effet l'entreprise d'intérim qui, en tant qu'employeur, supporte tout ou la majeure partie du coût des accidents du travail.
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Deux décrets publiés au Journal officiel ce week-end modifient le régime des dérogations à l'interdiction de certains travaux dangereux pour les jeunes d'au moins 15 ans et de moins de 18 ans. La dérogation qui était annuelle est désormais de 3 ans et vise l'entreprise dans sa globalité et non plus chacun des jeunes concernés.