Acteurs de la sécurité

Le 28/04/2023
A la une

[interview] Romain Bossut : « Il y a un manque de confiance dans le médecin du travail et une incompréhension de son rôle par le salarié »

Médecin du travail, Romain Bossut s’est intéressé, pour sa thèse, aux plaintes ordinales visant sa profession. Elles portent souvent sur la procédure d’inaptitude. D’après lui, elles témoignent d’un manque de confiance de la part du salarié.

Le 26/04/2023
Chronique

Contester les avis médicaux du médecin du travail : une porte de sortie entre-ouverte pour l’employeur ?

AvoSial (*) publie des chroniques pour actuEL-RH. Aujourd'hui, Anaïs Vandekinderen et Lorry Mongilardi CMS Francis Lefebvre Avocats, expliquent de quelle manière la contestation de l'avis médicale du médecin du travail, en cas d'inaptitude du salarié, peut permettre de débloquer certaines situations.

Le 31/03/2023
A la une

L’OPPBTP vise la prévention primaire des troubles musculosquelettiques

La majorité des cas d’inaptitude dans le BTP sont dus aux troubles musculosquelettiques. L’OPPBTP lance une campagne nationale pour les prévenir.

Le 24/03/2023
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Prévention : le rôle des experts-comptables en question

Comme les experts-comptables accèdent aux TPE, certains plans régionaux de santé au travail prévoient de les mobiliser comme relais. Faut-il encore qu’ils soient formés et qu’ils restent à leur place.

Le 21/03/2023
A la une

Télétravail : l’ANDRH souhaite introduire la notion de responsabilité partagée employeur-salarié dans le code du travail

Selon une enquête de l’ANDRH dévoilée hier, 84% des DRH sondés souhaitent une évolution du code du travail pour adapter la législation aux réalités du travail hybride. Trois domaines sont identifiés comme prioritaires : la simplification du suivi du temps de travail ; la responsabilité de l’employeur en matière de santé et de sécurité pour le télétravail et l’introduction de la notion de co-responsabilité.

Le 21/03/2023
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Le lanceur d’alerte n’a pas à suivre la procédure d’alerte graduée s’il dénonce un délit ou crime

Nouvelle précision sur les canaux de signalement d’une alerte prévus par la loi Sapin 2 : le salarié qui relate ou témoigne, de bonne foi, de faits constitutifs d'un délit ou d'un crime dont il aurait eu connaissance dans l'exercice de ses fonctions n'est pas tenu de respecter la procédure d'alerte graduée. La Cour de cassation fixe par la même occasion les contours de cette notion de bonne foi.