Les premières associations se mobilisant sur les risques industriels étaient souvent des "associations expertes", puis la catastrophe d'AZF a fait naître les associations de victimes, parties civiles des procès. Aujourd'hui, la chercheuse Gwenola Le Naour remarque l'émergence d'associations "plus radicales et davantage tournées vers le contentieux". Lubrizol a provoqué la création de 3 associations. Comment envisagent-elles leur positionnement ?

