Pour les entreprises françaises, déjà soumises à la loi sur le devoir de vigilance, la future directive européenne ne devrait pas être un trop grand chamboulement. Mais le texte pourrait avoir le mérite de venir combler les lacunes françaises et tirer vers le haut les entreprises étrangères, analyse Sylvain Guyoton, vice-président de la recherche chez EcoVadis.
RéagirDes réponses succinctes, rédigées de manière générale et exprimant pour l'essentiel une insatisfaction sur les conditions de travail résultant d'une nouvelle organisation de travail, ne sont pas suffisantes pour prouver un risque grave.
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