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Le 3e plan santé au travail est enfin adopté. Prévention primaire, qualité de vie au travail et organisation d'un "système d'acteurs" avec des partenaires sociaux qui réfléchissent à une simplification des normes. Voici les principaux points à retenir.
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Outre-Atlantique, le Canada a la réputation d'une bonne prise en compte de la santé au travail, même si les risques psychosociaux y sont une des premières causes d'invalidité. L'association québécoise "Groupe entreprises en santé" accompagne les employeurs sur les questions de santé globale, pour doper leur productivité. Rencontre avec sa présidente, Marie-Laure Pelletier.
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À compter d’aujourd’hui, la valeur limite d’exposition professionnelle à l’amiante est fixée à 10 fibres / litre d’air pour 8h, soit 10 fois moins qu'avant. Moyennant un "coup de collier" et un délai de 3 ans, les entreprises de sous-section 3 sont prêtes, estime l'OPPBTP. Les autres, moins.
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L'urgence n'est pas le cœur de métier des services de santé au travail. Il n'empêche, elle demande aux praticiens une forte préparation en amont, qu'il s'agisse d'une explosion ou d'une crise cardiaque. Les protocoles les plus précis possible sont-ils la solution ? Les avis sont partagés.
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Selon le code du travail, le travail de nuit doit être exceptionnel. Il peut être mis en place par un accord collectif. Si des salariés et organisations syndicales, estiment que le travail de nuit dans leur entreprise, en dépit de deux accords en vigueur n'est pas licite, revient-il à l'employeur de prouver que le travail de nuit se justifie ? Non, répondent les juges dans cette affaire qui a inspiré les ordonnances travail.
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Les établissements sociaux et médico-sociaux doivent mettre en place avant le 1er janvier 2023 un dispositif de surveillance de la qualité de l'air intérieur. Une campagne de mesure est déployée dans une centaine d’établissements tirés au sort afin de définir le dispositif le plus adapté.
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Lorsque des salariés subissent une dégradation de leurs conditions de travail en raison d'un "mode de management par la peur", l'entreprise peut être condamnée. Selon la Cour de cassation, la faute peut être caractérisée même si l'employeur a été relaxé au pénal du chef de harcèlement moral.