Conditions de travail

Le 17/09/2014
A la une

De mauvaises conditions de travail ne fondent pas à elles seules un harcèlement

Pour que le harcèlement moral sur le lieu de travail soit reconnu, il faut qu'il y ait non seulement agissements répétés du harceleur, mais aussi atteinte à sa dignité, à sa santé ou à son avenir. Travailler dans des locaux vétustes, ne pas être rémunéré de ses heures supplémentaires ou manquer d'équipement ne suffit donc pas. La preuve par trois, dans la jurisprudence récente.

Le 16/09/2014
A la une

Les collaborateurs médecins pourront se prononcer sur les aptitudes au travail

Le projet de loi de santé comprendra un article censé donner plus de latitude aux collaborateurs médecins. Actuellement, ces médecins dans une autre spécialité, en reconversion dans la médecine du travail et en formation auprès d'un professionnel, ont un nombre de missions trop restreint pour soulager une profession qui manque cruellement de bras.

Le 15/09/2014
A la une

L'aptitude visuelle est difficilement encadrée par la médecine du travail

L'évaluation des capacités visuelles de certains travailleurs est difficile à appréhender pour les médecins du travail, notamment en l'absence de textes réglementaires dans de nombreux métiers – dans la logistique, par exemple. Il est aussi important pour les médecins du travail de pouvoir prendre en compte l'impact des différentes pathologies visuelles sur le travail.

Le 12/09/2014
A la une

Du bleu pour voir la vie au travail en rose

Sautes d'humeur, mémoire défaillante ou sommeil de mauvaise qualité : la recherche l'a montré, le manque de lumière affecte ceux qui travaillent dans des espaces confinés. Mais en ajoutant un peu de bleu à la lumière artificielle diffusée dans ce type d'espaces, une équipe de l'Inserm a réussi à faire reculer les troubles des salariés en question.

Réagir (1 commentaires)
Le 10/09/2014
A la une

Petits et gros maux de la techno-dépendance

L'essor du travail à distance a fait du portable le principal outil du "travailleur nomade", comme l'appelle le chercheur Jan Popma dans une étude sur le "technostress". Troubles du sommeil, expositions aux ondes et apparition d'un "pouce Blackberry" : zoom sur les aléas physiques qu'entraînent l'omniprésence du mobile chez ceux qui ne travaillent pas toujours au bureau.